
👩⚕️👨⚖️ Des professionnels de la santé mentale de l’enfant et du droit tirent la sonnette d’alarme !
Un collectif engagé, composé d’experts en santé mentale de l’enfant et en droit, exprime ses profondes préoccupations face aux séances d’éducation à la sexualité imposées dans les établissements scolaires.
📌 Le problème ?
Ces cours, instaurés sous l’égide du ministère de la Santé et du ministère de l’Éducation nationale, vont à l’encontre de la protection de l’intérêt supérieur de l’enfant et bafouent l’autorité parentale, pourtant garante de leur éducation et de leur bien-être.
❌ Une sexualisation précoce des enfants
👉 Présentée comme un moyen de prévenir les violences sexuelles et les discriminations, cette « pédagogie » expose pourtant les enfants à des sujets inadaptés à leur âge.
📢 Un constat inquiétant :
🔹 Cette éducation forcée à la sexualité s’inscrit dans la logique de la théorie du genre 🏳️🌈.
🔹 La sexualité est pourtant une question relevant du droit à la vie privée et familiale 🏠, comme l’affirme le Droit international.
🔹 L’OMS et certains lobbies cherchent à intégrer la sexualité dans le "droit à la santé", permettant ainsi une intrusion du public dans la sphère privée.
⚖️ Une violation des droits parentaux et des principes fondamentaux
💥 L’éducation sexuelle obligatoire dans les écoles viole plusieurs principes fondamentaux du droit international :
✅ Aucune convention internationale ne prévoit une telle obligation.
✅ Les États sont tenus de respecter l’autorité parentale selon la Convention internationale des droits de l’enfant 🌍.
✅ L’article 2 du protocole additionnel n°1 de la CEDH garantit le respect des convictions philosophiques et religieuses des parents 🙏.
✅ Le Conseil de l’Europe interdit aux États membres toute forme d’endoctrinement des enfants dans leurs missions éducatives ⚠️.
📎 Documents à consulter :
📜 Courrier officiel
📌 Résumé du courrier
📊 Synthèse du courrier
🔗 [Accédez à leur site ici]
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